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Partage de culture un choix ou un besoin?

14 mai 2018

Conclusion

CONCLUSION

J'espere que l'énonciation de ses phénomènes des sociétés aura éclairé vos lumières , que ses sujets sont plus clair à présent et qu'un avis objectif de la chose à commencé a germer des vos esprits.

N'hésitez pas à participer à des dons pour lesa ssociations en faveur des migrants. Ses personnes se battent pour survivre , un petit geste de votre part serai une belle victoire pour eux.

C'est ainsi que se cloture ce blog , sachez que j'ai pris beaucoup de plaisir a essayer de vous transmettre des valeurs qui pour moi son fondamentales.

A bientôt sur Canal Blog!

nos_resolutions_bonheur_pour_2018

 

 

 

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13 mai 2018

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12 mai 2018

Des militants d'extrême-droite bloquent un col dans les Alpes afin d'empêcher les migrants de passer

Je vous est présenté dans mon article précedant une association qui était situé à Briançon : L'association TOUS MIGRANTS.

Cette association vient en aide aux migrants contraint de passer par le Col de l'Echelle qui relie la France depuis l'Italie par les Alpes du sud.

Cependant quand des gens se battent pour défendre des droits moraux et l'intégrité des poupulations migrantes au travers d'une association d'autres menent une action totalement opposé:

 

Une centaine de militants du mouvement d’extrême droite Génération identitaire (GI) expliquent "veiller à ce qu’aucun clandestin ne puisse rentrer en France".

Le samedi 24 avril 2018 , ils étaient une centaine de militants, appuyés par deux hélicoptères, pour bloquer la frontière entre l'Italie et la France, au niveau du col de l'Echelle, dans les Hautes-Alpes. Ces militants du groupe d’extrême droite Génération identitaire, habitué aux opérations coups de poing (l'occupation du toit de la mosquée de Poitiers en 2012 c'était déjà eux), étaient sur place pour veiller à ce qu'aucun clandestin ne puisse rentrer en France" par ce point de passage de plus en plus utilisé. 

Après une ascension commencée après 9 heures, en raquettes sur la neige, ses membres ont matérialisé une « frontière symbolique » à l'aide de grillage en plastique de chantier et prévoient de passer la nuit au col. Il s’agit d’« expliquer aux migrants éventuels que ce qui n’est pas humain, c’est de faire croire à ces gens qui traversent la Méditerranée ou les Alpes enneigées que ces parcours ne présentent aucun risque. C’est faux », a déclaré Romain Espino. « Ils ne vont pas trouver l’Eldorado, c’est immoral. Ceux qui en paient les frais, ce sont les Français », a-t-il ajouté.

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Frontière mise en place pour les militants activistes de Génération Identitaires

Selon la préfecture des Hautes-Alpes, l’opération s’est « jusqu’à présent déroulée dans le calme » et une « partie » des militants avaient « déjà quitté le site » en début de soirée. « La préfecture et les forces de l’ordre continuent de suivre avec attention et vigilance la poursuite de cette opération, afin de prévenir tout trouble à l’ordre public et de garantir le respect du droit », souligne-t-elle dans un communiqué.

Sur place, aucune force de l’ordre n’était visible samedi après-midi.

Culminant à 1762 mètres, le col de l'Echelle est situé à six kilomètres de la frontière avec l'Italie. Depuis un an, le département français des Hautes-Alpes connait une augmentation d'arrivés de jeunes migrants , majoritairement de Guinée (Conakry) et de Côte d'Ivoire. Selon les autorités françaises, 315 personnes en situation irrégulière ont été refoulées vers l'Italie en 2016 et 1900 en 2017.

 

Afin de montrer jusqu'où la bétise humaine peut s'étendre je vous joint le tract de la campagne Defend Europe / Mission Alpes de Génération Identiatires , je vous laisse juger par vous même de ce tract accablant , immoral et le niveau de fermeture d'esprit de ses personnages ... 

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12 mai 2018

Condition extrême de migration : Passage France - Italie des migrants via les Alpes du sud

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ACCUEIL DES MIGRANTS :

Une cordée solidaire organisé pour venir en aide aux familles 

 

En montagne, comme en mer, les frontières se ferment, se déplacent et se reforment au gré des politiques et des pratiques des États qui cherchent à tout prix à refouler les migrants. Depuis l’été 2017, c’est dans les Alpes du Sud que les personnes passent de l’Italie vers la France. Elles trouvent à Briançon secours et chaleur humaine auprès des habitants, le temps de reprendre des forces et de poursuivre leur route.

 

À la veille de la journée internationale des migrants, l’association Tous Migrants et le collectif de professionnels de la montagne SOS Alpes solidaires ont organisé une cordée solidairee au col de l’Échelle.

L'objectif principalde cette action est la sensibilisation du public, la presse et l’État sur les risques encourus par les personnes migrantes en haute montagne. Sachant que la plupart du temps ce choix est plus une fatalité pour les familles.

 

Zoom sur l'asociation : Tous migrants 

 

 

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UN MOUVEMENT CITOYEN DE SENSIBILISATION ET DE PLAIDOYER

 

 

Sans étiquette politique, religieuse ou institutionnelle, Tous Migrants est un mouvement citoyen briançonnais de sensibilisation et de plaidoyer autour du drame humanitaire des migrants en Europe.
Au commencement...
Début septembre 2015, le mouvement citoyen Pas En Notre Nom Briançon, désormais dénommé Tous Migrants, naît spontanément pour exprimer une indignation collective face à l'inaction politique vis-à-vis du drame humanitaire des migrants en Europe, de la Méditerranée jusqu'à Calais.
En  Mars 2016, Tous Migrants organise une journée de rassemblement, de prise de position, d’échange et d’information, pour un accueil digne et solidaire des migrants. Une journée qui expose au grand jour l’existence du Mouvement citoyen dans le paysage local, et qui montre que les convictions qu’il défend sont partagées par de nombreux habitants du territoire, venus afficher leur soutien comme bénévoles, partenaires ou visiteurs.

 

Nos domaines et moyens d'action

 

Fort de l'adhésion de plusieurs centaines de citoyens du Briançonnais à la cause qu'il défend, le Mouvement mène des initiatives variées, en vue de maintenir l'attention
et la pression citoyennes sur cette question sensible, régulièrement effacée de la couverture médiatique.

L'action de Tous Migrants repose sur des contributions exclusivement bénévoles, et aussi souvent que possible sur des partenariats avec les structures pérennes locales.
Deux idées directrices animent l'esprit du mouvement
 
C'est en renforçant le lien social local, en ouvrant des espaces de dialogue, d'échange, de convivialité et de solidarité avec notre voisin d'ici (« l'autre d'ici ») que nous accepterons naturellement notre voisin de là-bas (« l'autre de là-bas », étranger, migrant, réfugié...)

Chacun d'entre nous peut « faire sa part », à son échelle, suivant la théorie du colibri de Pierre Rabhi, pour contribuer à la résolution de la crise de l'accueil actuelle, y compris
en plaidant pour l'adoption de décisions politiques plus responsables et humaines en matière de migration. Il en va de notre humanité et notre dignité.

 

11 mai 2018

Migrants transitant en Libye , Portrait de Brice , jeune migrant camerounais

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La spirale de violence qui emporte la Libye depuis 2011 n’épargne pas les migrants africains. Venus dans ce pays dans l’espoir de rejoindre l’Europe par la mer, ils sont la proie des nombreuses milices qui y fourmillent depuis 2011.

 

 

 

Un jeune migrant camerounais raconte son quotidien à Tripoli entre extorsion d’argent, kidnappings et blessure par balles au pied. 

 

Brice espérait que la Libye soit sa porte d’entrée vers l’Europe, elle n’est finalement qu’une prison à ciel ouvert. Après être resté quatre ans au Maroc sans parvenir à prendre le large, ce jeune Camerounais de 22 ans a décidé en 2014 de faire route vers la Libye. 

 

Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), plus de 264 000 migrants et réfugiés vivent dans ce pays, devenu lieu de transit vers l’Europe.

Comme les autres, Brice pensait y avoir de meilleures chances d’atteindre son but. C’était un leurre : deux ans après son arrivée à Tripoli, il n’est toujours pas monté sur un bateau et doit survivre à un quotidien fait de peur et de violence. Les groupes armés qui sont apparus en Libye en 2011 profitent en effet de l’absence de tout état de droit pour s’enrichir sur le dos des migrants. 

Comme quasiment tous les jours, je suis parti avec un ami à la recherche d’un emploi. La plupart du temps, on travaille dans le bâtiment à la journée, on essaie d’économiser un peu d’argent pour payer la traversée de la Méditerranée. Ce jour-là, deux hommes armés sont descendus d’une voiture et nous ont attaqués. Ils nous ont pris tout l’argent qu’on avait sur nous, soit 320 euros. Comme on n’a pas de lieu sûr où mettre nos économies, on les a toujours sur nous. On a tout perdu. 

Ils nous ont ensuite ordonné de monter dans leur voiture. On a refusé car on savait ce qui allait se passer : ils voulaient nous kidnapper. Ils ont alors tiré dans tous les sens, mon ami a été légèrement touché au dos et une balle est entrée puis ressortie de mon pied. Je suis blessé mais je n’ai pas été vraiment soigné. Je n’ai pas de passeport et je suis entré en Libye illégalement, je ne peux donc pas aller à l’hôpital car la police m’arrêterait. Je suis allé voir un médecin qui aide en secret les migrants, il a essayé de désinfecter mon pied mais il m’a dit qu’il n’y avait pas grand-chose à faire sans aller à l’hôpital. Ça me fait très mal, je ne peux plus marcher.

La vie en Libye est très dure. Dès qu’on met un pied dehors on a peur, il faut se faire discret car on essaie toujours de nous agresser. Tout le monde est armé, c’est dur de se défendre.
En octobre 2015, j’ai été kidnappé par un Libyen qui m’avait offert du travail. Je suis monté dans sa voiture et là il m’a soudainement dit que j’allais être emprisonné. Il m’a emmené dans une maison transformée en prison. C’est très courant en Libye : les migrants sont capturés par des groupes armés qui appellent ensuite les familles pour qu’elles payent une rançon contre leur libération. Heureusement j’ai réussi à m’échapper pendant la nuit…


Ce n’est pas tout. En 2015, un passeur m’a aussi dérobé mon argent. Il m’avait fait payer 400 euros pour que je monte sur un bateau pour aller en Europe, mais il a ensuite disparu.


Brice a le sentiment d’être pris au piège :

Je ne peux pas retourner au Maroc car la route vers l’Algérie est trop dangereuse, je risque de me faire enlever. Il n’y a pas d’ambassade du Cameroun en Libye pour m’aider.

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11 mai 2018

Le changement climatique : nouveau facteur de migration

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Les migrations massives de populations conséquentes au réchauffement climatique est un élément de tension géopolitique extrêmement préoccupant.

1/5 de la population mondiale vit sur des zones côtières qui sont menacées par la montée du niveau des mers et les inondations.

 

Dans de nombreuses régions du monde, des phénomènes liés au réchauffement climatique sont déjà observés :

  • réduction des terres arables
  • multiplication des coupures d'eau
  • baisse des réserves alimentaires et poissonnières
  • augmentation des inondations
  • allongement des périodes de sécheresse

 

 

Certains états déjà frappés par le réchauffement climatique demandent que le motif climatique soit reconnu comme valable au plan international pour l'immigration.

Selon une étude de l'association Christian Aid, au moins 1 milliard de personnes vont migrer d'ici à 2050 : 645 millions de personnes à cause de grands projets (15 millions par an actuellement) 250 millions à cause de phénomènes liés aux changements climatiques (inondations, sécheresses, famines) 50 millions à cause de conflits et d'atteintes aux droits de l’homme

 

En s'appuyant sur des données du Groupement d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat (GIEC), l'étude affirme qu'entre 1,1 et 3,2 milliards de personnes d'ici 2080 manqueront d’eau, et entre 200 et 600 millions souffriront de la faim.

 

Les pays les plus pauvres seront les premiers touchés par les migrations climatiques : les pays du sud de l'Asie, du Moyen-Orient, d'Asie centrale, d'Afrique et d'Amérique latine, et l'Europe par la suite. 

 

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10 mai 2018

CHRONIQUE DES DROITS DE L'HOMME: Bienvenue au TIBET

L'acculturation passe par la répression des activités religieuses

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Développement économique et acculturation vont-ils de pair dans les régions autonomes tibétaines ?

Pékin assimile la défense l'usage de la langue tibétaine à un acte séparatiste. 

 

Dans les régions autonomes tibétaines, l'acculturation passe par la répression des activités religieuses. Le sort de l'institut bouddhiste de Larung Gar en donne un exemple. Fondé en 1980 dans la province du Sichuan, ce centre d'enseignement de renommée internationale avait accueilli jusqu'à près de 10 000 apprentis moines et nonnes, dans une ville d'environ 40 000 habitants.

 

En 2016, officiellement pour des raisons de sécurité, de protection contre les risques d'incendie et de modernisation, les autorités chinoises décident de réduire la population religieuse de Larung Gar à 5 000 personnes et détruisent une partie des traditionnelles maisons roses imbriquées à flan de colline.

Témoignage  de Dolma Tsering Teykhang :

« Ça a été un prétexte pour faire partir les nonnes. C'est le plus grand centre d'enseignement du bouddhisme au monde, et cela montre bien que la Chine a un problème avec le bouddhisme. Ils considèrent la religion comme le ciment de l'unité des Tibétains, qui leur donne le courage de continuer à se battre pour leur identité tibétaine »

« Il faut être enraciné dans sa propre langue »

Agée de 61 ans, Dolma Tsering Teykhang est enseignante. Elle a travaillé pendant plus de 26 ans en Inde dans des écoles tibétaines.  Au-delà son aspect religieux, l'acculturation des jeunes Tibétains commence par l'éducation et la langue. « Les autorités chinoises découragent l’enseignement du tibétain et imposent celui du mandarin », confie-t-elle.

Et d'ajouter : « Ceux qui maîtrisent le mandarin sont favorisés pour obtenir un emploi ou profiter des opportunités qui s'offrent à eux au Tibet. La Chine favorise le mandarin pour procéder à un lavage des cerveaux. On donne aux enfants des repas et des vêtements gratuits à l’école élémentaire, on leur enseigne une histoire déformée du Tibet, comme étant partie intégrante de la Chine, et à l’âge de l’enseignement secondaire, ces jeunes sont envoyés à l'intérieur de la Chine, où ils oublient leur langue, où ils sont transformés. »

« Apprendre les langues étrangères, c’est bien, c’est avoir plusieurs cordes à son arc, mais il faut être enraciné dans sa propre langue, c'est essentiel. La Chine, au moyen de l’éducation, pousse les jeunes au déracinement, à l’acculturation, et en même temps produit des Tibétains loyalistes au régime chinois, à qui elle accorde une promotion sociale », considère l'enseignante.

« Que ce soit les affaires, l’éducation, tout est fait pour les Chinois de l'ethnie han. Les Tibétains n'ont droit qu’à un traitement de seconde zone. Ils sont méprisés, parce quand ils ne sont pas loyaux à la propagande chinoise, les Chinois disent qu'ils se dorent au soleil du socialisme. Mais ici, ce qu'on voit, c'est qu'il y a des gens qui continuent de s'immoler. »

 

Cinq cents nonnes envoyées en rééducation

« L'étendue des destructions est énorme, ajoute-t-elle. Au début, ils ont commencé à détruire eux-même, ils ont amené beaucoup d’engins de terrassement, et puis à un moment donné ils ont dit aux gens : "Si nous procédons aux démolitions, vous ne garderez rien, donc il faut que vous démolissiez vous-même vos maisons si vous voulez pouvoir garder ce que vous possédez." Voilà quelle est la situation. »

Les chiffres varient mais plusieurs milliers de religieux ont été éloignés de Larung Gar, en échange parfois d'une compensation financière. Et ils ont été soumis à des obligations particulières, explique Dolma Tsering Teykhang :

« Cinq cents nonnes, par exemple, ont été éloignées de la région et envoyées en rééducation patriotique. Nous avons vu des vidéos sur lesquelles ces nonnes chantent des hymnes de loyauté au communisme. Ce à quoi elles ont été forcées. Au Tibet, pour entrer dans un monastère, le premier critère c'est qu'il faut avoir montré sa loyauté au régime communiste. »

 

Pour conclure par un exemple concrêt: 

Le jeune Tashi Wangchuk attend son procès

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Pékin assimile la défense de la langue tibétaine à un acte séparatiste. Le jeune Tashi Wangchuk en a fait les frais. Cet entrepreneur de 30 ans, défenseur de la culture tibétaine, réclamait un enseignement bilingue dans les écoles des provinces autonomes tibétaines. Arrêté il y a deux ans, inculpé pour incitation au séparatisme, il attend son procès en prison et risque quinze ans de réclusion.

5 mai 2018

Pétition : Une élève du lycée Marcelin Berthelot et sa mère menacées d'expulsion

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Une élève du lycée Marcelin Berthelot à Saint-Maur et sa mère menacées d'expulsion

 

Veronika et sa mère sont arrivées en France en 2013. Elles ont fui l'Ukraine où leur intégrité physique et leurs vies étaient menacées.

 

 

Veronika a un permis de séjour qui prendra fin juste après le bac tandis que sa mère a reçu une "obligation de quitter le territoire français" pour le 13 avril 2018.

Compte tenu des circonstances - cette élève est fille unique, son père est décédé, sa mère est malade et son retour dans le pays d'origine présente des risques majeurs - elle ne laissera pas sa mère repartir seule...

Elle devra donc renoncer à son baccalauréat, à ses études de droit et à tous les projets pour lesquels elle s'est battue et a fait tant d'efforts. Depuis cinq ans, ses progrès scolaires ont été constants et remarquables.

D'ailleurs, le conseil de classe du deuxième trimestre de terminale atteste de son sérieux, de son mérite, de sa motivation et lui accorde les compliments.

Il faut également souligner ses efforts d'intégration en dehors du lycée, son courage pour faire face à des conditions économiques et sociales très difficiles en matière sanitaire, de logement et de niveau de vie, et qui découlent de sa situation administrative.

Nous ne pouvons accepter le sort qui est réservé à cette élève et à sa mère et demandons à ce que les autorités compétentes leur attribuent un permis de séjour durable pour qu'elles puissent enfin vivre sereinement et dignement.

VIRGINIE BURGOS a lancé cette pétition adressée à Laurent Prévost, Préfet du Val de Marne , cette dame espère être entendu sa vie et celle de safamille en dépendent. 
Prenez 5min de votre temps pour signer cette pétition , c'est une cause noble
Le Samedi 05 mai nous sommes déjà à 3723 signature pourquoi pas vous ? 
Lien de la pétiton: 
https://www.change.org/p/une-%C3%A9l%C3%A8ve-du-lyc%C3%A9e-
marcelin-berthelot-et-sa-m%C3%A8re-menac%C3%A9es-d-expulsion?recruiter=873835429&utm_source=share_
petition&utm_medium=facebook&utm_campaign=psf_combo_share_initial&utm_term=psf_combo_share_initial&
utm_content=ex93%3Acontrol
1 mai 2018

Interview - Wilson Primeron Nomade/Aventurier

 

Interview

Wilson Primeron 54 ans , Nomade ,rencontré dans les Pyréenes lors d'un trek.

 

Bonjour Wilson, bienvenue , vous venez nous parlez d'une période de votre vie bien particulière , entre partage culturel et traditions local, Wilson répondra à nos questions !

 

Quel est votre pays natal et celui où vous avez grandit ?

Bonjour , je suis né en Guyanne et y est vécu jusqu'à mes 1 an mais j'ai grandit en France à Gardanne jusqu'à mes 10ans.

 

Donc vous avez déménagé à vos 10 ans ?

A l'age de 10 ans je suis partis vivre avec ma famille sur l’île de la réunion , nous avons quitté la France à bord d’un porte contenaire depuis Marseille , nous avons quitté la méditerranéenne par le canal de suez pour arriver dans l'Océan Indien , au bout de 17jours , parcouru 10000 km et nous avons débarqué au port de la ville nommée "le port" de l’île de la réunion.

 

 

Avez vous des souvenirs sur ce voyage en porte contenaire, bon comme mauvais? Pourquoi le choix de ce type d'embarcation , bon comme mauvais?

Ma famille étant modeste , ce moyen de transport était certe le moins confortable mais pour une bouchée de pain nous embarquions en famille.

Ce fut un très beau voyage , jai vu plein d’espèces aquatiques comme des  poissons volant , une baleine et des dauphins néanmoins nous avons eu 3 jours de mauvais temps et plusieurs fois par nuit dans le petit lit de nore cabine nous nous cognions la tête du aux turbulences. 

 

A votre arrivé sur l’île du haut de vos 10 ans quelles ont été vos premières impressions ?

 

Dépaysant ,dans un premier temps j'ai été impressionné par la luxuriance de la végétation , l'intensité des couleurs, c'était un peu comme si le temps s'était arrêté.

 

Vous avez déménagé pour quelle raison ?

C'était un voyage prévue et voulu de toute ma famille : à l'aventure comme on disait . Mon père a trouvé du travail à l’hôpital dans un premier temps nous avons loué une petite maison à la la ville nommée «  la possession ».

 

Avez vous bien réussis à vous intégré avec la population locale ?

 

Oui effectivement étant un enfant je me suis très vite adapté à ma nouvelle vie et je veux dire que les reunionés sont très accueillant et ouvert d’esprit à condition d'aller dans leur sens par moment ,vous savez j'avais beaucoup à apprendre de ce nouveau mode de vie . Le respect est , pour eux , un princpe fondamentale.

Je me suis lié d'amitié avec des garçons de mon âge, notamment un certain Jacky qui est devenu mon meilleur ami d’enfance. Nous avions pour projet de partir ensemble à l'aventure , qui sait , peu etre un jour nos routes se recroiseront.

 

Qu'avez vous appris sur la culture locale réunionnaise ?

 

Très diversité

Gastronomie locale est compose de riz et de pois puis d'une viande cuisiné que l'on appelé le cary et bien sûr de fruit exotiques d'une abondance remarquable ce qui ne manquait pas de m'émerveiller.

La musique locale est le maloya qui sont des chants du temps de l'esclavage . Un héritage culturel musical audible à chaque detour de rue.

La population est diversifié ont peut y rencontrer des hindous , des malgaches, des anglais , des mahorais, des chinois. Un métissage général.

J'ai également pu apprendre le créole à l'école avec mes camarades de classe , c'est un créole endémique de l'île et parlé par tous. Les enfants de l’île parlent français à l'école mais créole une fois à la maison en famille.

 

Un souvenir inoubliable pour vous ?

Le Piton de la Fournaise (Volcan encore actif sur l'île de la Réunion) était entré en éruption .Il y avait une coulé de lave , qui est allé se jeter dans la mer. Accompagné de mon père et armé d'un baton, j'étais à un mètre du magma , j'ai plongé mon baton dans cette source de chaleur incroyable et il s'est enflammé instantanément . C'est un souvenir qui je n'oublierai  surment jamais.

Quelque critique sur cette île dite paradisiaque?

 Le climat est lourd , humide et moite. L’humidité ambiante donne une atmosphère assez pessante.

Ce que je pourrais reprocher c'est qu'ils y'a plusieurs tranches de populations:

- les locaux

- les continentaux mais intégrés depuis longtemps dans la population locale.

- les nouveaux arrivant surnommée les z'oreilles mettent plus de temps à s'integrer.

 

Les z'oreilles? 

Oui , les continentaux sont appelé les z'oreilles , parce étant donnée qui  ne comprennent pas le créole , ils tendent l'oreille avec une moue d'incompréhension la plsu totale. Je passais des heures avec Jacky à les regarder , on rigolait beaucoup.  

 

A votre retour en France à vos 16ans , quelles ont été vos impressions?

Imprégné de ce tempérament reunionné , des coutume locales , mon retour en France a été un vrai choc culturel.

Je suis revenu grandit de cette aventure enrichissante.

Ce voyage a été pour moi un élément déclencheur pour mes voyages futures , comme si une soif d'aventure inétenchable que seul la découverte de nouveaux territoires arrive à contenter.

Mais ceci est une autre histoire... 

 

Merci Mr Wilson Primeron , pour votre temps , heureux d'avoir partagé celà avec vous et que les voyages puissent continuer à

être une tel source d'inspiration pour vous!

Je vous admire!

 

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4 avril 2018

L'ARABE DU FUTUR Riad Sattouf ..... un PARTAGE CULTUREL

IMMAGE BLOG

L'arabe du futur Volume 1 est une BD autobiographique en 3 tomes, au narrateur libre et drôle. À travers des dessins épurés et efficaces, Riad Sattouf met en scène sa prime jeunesse en Libye sous le régime de Kadhafi et dans la Syrie d'Hafez-al-Assad, durant une période allant de 1978 à 1984.

Faussement candide, Riad Sattouf, né d'une mère bretonne et d'un père syrien, décrit sa vie à Tripoli alors que son père est nommé professeur et lui inculque le respect pour les grands dictateurs.

En 1984, la famille déménage en Syrie et rejoint le berceau des Sattouf, un petit village près de Homs. Malmené par ses cousins (il est blond, cela n'aide pas...), le jeune Riad découvre la rudesse de la vie paysanne traditionnelle. Son père, lui, n'a qu'une idée en tête : que son fils Riad aille à l'école syrienne et devienne un Arabe moderne et éduqué, un Arabe du futur.

. Une seule hâte : découvrir la suite des aventures du jeune Riad, partagé entre deux cultures et nous offrant un point de vue tendre et lucide.

Une bande dessinée autobiographique ?

Riad Sattouf est un auteur de bande dessinée et ralisateur français . Notamment connu pour sa trilogie "L'arabe du futur"  ( tome 4 prévue fin 2018) , cet auteur raconte son enfance au travers d'écrit drôle et pertinents sur un sujet trop peu connu.
Il raconte son intégration et la transmisson d'idée extrémiste faite par son père à son égard . En effet pour lui , son fils devrait changer la donne il devrait
être cultivé et devenir " L'Arabe du Futur". Il relate à travers ses écrits le racisme présent au son égard et la difficulté à s'intégrer ayant une autre culture.
L'auteur aspire à informer la population sur la situation de ses pays sous la dictature afin qu'un public de toute sorte puisse mieux comprendre les réalités de l'époque.
Citation de l'auteur: 
« J’ai écrit “L’Arabe du futur” en espérant que ma grand-mère puisse le lire. Et pour faire taire tous ceux qui pensent que la BD est destinée aux débiles légers »
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